Le fonctionnement de l'EFT
Le fonctionnement de l’EFT
Sur les cellules de notre corps
Quel est le fonctionnement de l’EFT, et certainement de bien d’autres techniques énergétiques ? Comment l’EFT influence t’il notre corps ?
Qu’est-ce que l’EFT ?
Très rapidement. C’est une technique thérapeutique douce qui a été inventée par l’américain Gary Craig et qui a depuis connu de nombreux développements.
Concrètement, après avoir défini le sujet que le patient veut traiter, il stimule lui-même des points particuliers.
Ces points sont exclusivement situés sur le visage, le crâne et le haut du corps. Ils correspondent certainement à des points d’acupuncture.
Le praticien guide la personne pendant le déroulement de la séance.
C’est une méthode très efficace qui a été utilisée pour effacer les troubles post-traumatiques de soldats américains revenant de la guerre au Vietnam.
L’EFT sur le ressenti
L’EFT ne fera pas disparaître l’événement traumatique mais il en modifie le ressenti.
Car il va me permettre de modifier ma perception de mon problème, une phobie par exemple.
Il ne va pas agir dessus mais sur la façon dont je la ressent, parce qu’il ne va pas modifier le passé. Mais il va modifier l’importance que je lui donne.
Et enfin, il va me mettre dans le bon état d’esprit pour le surmonter.
Parce que ce n’est pas l’événement qui est important, c’est la façon que nous avons de le percevoir.
L’EFT va corriger le message dissonant ancré dans mon esprit afin de changer mon comportement futur.
L’EFT agît simultanément sur les plans physiques, émotionnels et psychologiques.
Une action physique
J’ai bien écrit physique. Et ceci explique le choix de la photo d’illustration.
Depuis les travaux de Bruce Lipton on sait que l’environnement modifie le devenir de la cellule souche.
Dans son ouvrage Biologie des Croyances, Lipton nous apprend que les gènes et l’ADN ne contrôlent pas notre fonctionnement biologique.
En réalité, l’ADN est plutôt lui-même contrôlé par des signaux provenant de l’extérieur de la cellule, y compris (et surtout) les messages énergétiques émanant de nos pensées positives ou négatives.
L’ADN de la cellule est à 60% tributaire de l’environnement (part de l’acquis) et donc il peut être modifié par l’EFT. Il y a bien une influence physique par l’EFT !
Pour finir de vous convaincre, MM Dawson Church et Garett Young ont réalisé une étude sur l’expression des gènes avant et après une séance d’EFT sur un échantillon de 16 personnes âgées.
Quelle ne fut pas leur surprise en découvrant que la séance d’EFT avait modifié plusieurs gènes !
Le mécanisme d’auto-guérison du corps
En permettant la communication des nouveaux ressentis entre les cellules, l’EFT va permettre au corps de remettre en marche son système d’auto-guérison.
Parce que le corps cherche en permanence à s’auto-guérir en comparant sa situation actuelle avec son cadre de références.
Le cadre de référence est le modèle définitif qui a permis à deux cellules qui se sont rencontrées de construire un corps adulte.
Si le cadre de références est ‘assaini’, alors ce mécanisme d’auto-guérison va s’activer et le corps va rétablir un nouvel équilibre en fonction du nouveau cadre de référence.
C’est un mécanisme de régulation par comparaison des écarts. Le corps a su se développer tout seul lors de notre croissance, il va pouvoir maintenant se guérir.
En schématisant c’est comme une coupure qui cicatrise toute seule, sans notre intervention consciente. Le corps sait ce qu’il doit faire.
Avec ces séances d’EFT je vais me placer en situation d’accueil et non plus d’attente.
Dans une situation d’attente j’attends que quelque chose de connu et éventuellement traumatisant m’arrive.
’est une situation qui peut être anxiogène.
Dans une situation d’accueil, je me place dans uns posture où je sais que quelque chose va certainement arriver.
Je ne sais pas ce qui va arriver mais je sais que ce me sera favorable.
Ainsi, je vais pouvoir re-paramètrer mon système de croyances.
Pour cela pendant la séance d’EFT, ou chez moi, je vais tapoter sur des points d’acupuncture définis en énonçant mon problème. Mon challenge disent les anglo-saxons.